Avec presque rien, des centaines de ficelles et autant de petits cailloux, l’artiste coréen Juhyung Lee nous transporte dans un univers onirique où chaque spectateur devient acteur d’un monde en déconstruction. On se frôle, se regarde, s’enjambe, se croise, s’attend, dans une conscience profonde de l’autre. Un joli moment de rêverie et d’humanité.
This Korean artist drag us into a sensibility of the crowd which he was intensively immersed in.